Michel Delpuech
Michel Delpuech | |
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Paris Police Prefet | |
In office 19 April 2017 – 20 March 2019 | |
Preceded by | Michel Cadot |
Succeeded by | Didier Lallement |
Personal details | |
Born | Aurillac, France | 13 February 1953
Alma mater | Sciences Po, ÉNA |
Profession | Civil servant |
Michel Delpuech (born 13 February 1953) is a French high-ranking civil servant. He was the Paris Police Prefet since 19 April 2017, after having been Prefet of Paris.
Career
[edit]On 23 July 2018, in the context of the Benalla affair and the 1st of May violences, he was heard by the French National Assembly commission. He answered to the accusations of Gérard Collomb, then Minister of the Interior and refuted any involvement. He denounced abuses linked to what he called cronyism at the top of the state.[1]
He was heard again by the Senate commission on 25 July 2018, where he again refuted any involvement.[2]
He was sacked by the government after the Act XVIII of the yellow vests manifestation in Paris on 16 March 2019.[3]
References
[edit]- ^ "Affaire Benalla : " des dérives inacceptables sur fond de copinage malsain ", selon Michel Delpuech". Le Monde. 23 July 2018. Retrieved 10 March 2019.
Selon ses déclarations, M. Delpuech n'était pas au courant de sa présence place de la Contrescarpe et n'a été informé de ses agissements qu'après l'Elysée. Pour le préfet de police, « ces faits résultat de dérives individuelles inacceptables, condamnables, sur fond de copinage malsain »
- ^ "Benalla : les temps forts de l'audition de Michel Delpuech, préfet de police de Paris". publicsenat.fr. 25 July 2018. Retrieved 10 March 2019.
Comme devant les députés, le préfet Delpech a justifié sa décision de ne pas avoir saisi l'IGPN une fois les images du 1er mai, place de la Contrescarpe, portées à sa connaissance. « Le débordement, la faute, le manquement, le dérapage personnel… Il n'est pas le fait d'un personnel placé sous mon autorité ».
- ^ "Préfecture de police de Paris : les raisons du limogeage de Michel Delpuech". Marianne. 21 March 2019. Retrieved 22 March 2019.
En deux jours, trois têtes sont tombées : celle du préfet Michel Delpuech, de son directeur de cabinet, Pierre Gaudin, et de Frédéric Dupuch, le patron de la DSPAP